Les gens ne changent pas, les choses ne changent pas.
Guérir le mal par le mal
Le reliquat du non résolu
Ne pas se donner comme but ultime de résoudre à 100% une problématique nous amène à convenir que la perspective du changement est opérationnelle. Si nous nous fixons comme but de ne jamais résoudre totalement et définitivement le problème pour lequel nous consultons, mais de gagner par exemple : du temps de sommeil pour l'insomniaque, ou encore de pouvoir ingérer une petite quantité de nourriture pour l'anorexique... "Le gain donc de laisser un reliquat non résolu s'avère double : d'abord la conception du changement se trouve libérée de l'utopie du tout ou rien, qui ne conçoit que le succès total ou l'échec complet, cela rend le patient capable de changer de lui-même, bien au-delà des limites raisonnablement prévues par le thérapeute".P.Watzalawick.
Le patient peut alors quitter sont traitement avec une confiance accrue dans ses possibilités.
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